J'ai le droit d'être moi, Un être à part, Une œuvre d'art !
IL EST TEMPS D’OUVRIR LE PLACARD
Compositeur et parolier américain, Jerry Herman a connu son premier succès en 1964, avec Hello, Dolly ! En 1983, il triomphe encore à Broadway grâce à La Cage aux folles. Avec la complicité d’Harvey Fierstein, auteur du livret de la comédie musicale, les deux défenseurs des droits LGBTQI+ adaptent la pièce de Jean Poiret et créent une œuvre originale qui, lorsqu’elle traverse l’Atlantique, devient une ode à la diversité. Reprise à Broadway en 2004-2005, La Cage aux folles est célébrée par la critique internationale et est couronnée de nombreux Tony Awards et Drama Desk Awards.
Travestis tapageurs, homosexuels efféminés, les « folles » ont toujours lutté. Tant pour la différence que pour l’indifférence.
Loin d’être enfermée dans les clichés véhiculés par le théâtre ou par le cinéma, la nouvelle production en français de La Cage aux folles, traduite et mise en scène par Olivier Py, réinscrit l’œuvre dans son contexte : le cabaret. À la scène, Zaza chante et danse, mais à la ville, l’artiste pose la question de l’homoparentalité et déclare l’amour inconditionnel du parent pour l’enfant, par-delà les assignations de genre. Plus de quarante ans après sa création à Broadway, La Cage aux folles reste une œuvre éminemment politique. C’est cette dimension qu’explore Olivier Py, à l’heure où la question des droits LGBTQI+ est remise en cause, partout dans le monde.
SECRETS D'UNE ŒUVRE
Pour en savoir plus sur La Cage aux Folles, une présentation du spectacle a lieu 45 minutes avant le début de la représentation, au Salon Diaghilev, par Rémy Batteault, cinéaste et Aurélien Poidevin, responsable du contenu éditorial du Théâtre du Châtelet, les mardi et jeudi, à 19h15 (Accès libre, réservé aux détenteurs de billets pour la représentation du jour).
« Paris sera la capitale des capitales », disait Napoléon III.
C’était il y a 170 ans. L’empereur des Français lançait d’immenses travaux publics voués à assainir la ville et à faire entrer la lumière dans les rues – alors trop étroites et sombres – de la capitale. A cette occasion, Sous Les Pavés vous propose de revivre cette transformation d’envergure pharaonique et de partir à la rencontre du célèbre baron Haussmann dont la renommée est indissociable de Paris.
Montmartre, petit village dans la ville, nous livre ses secrets les plus intimes à travers son Histoire. Nous partirons du bas de la butte, où nous revivrons les folles nuits qu’offraient les cabarets.
De tout temps, l’homme a cherché à comprendre sa place dans l’Univers et à se mettre en relation avec les astres. L’astrologie a toujours eu une place particulière au cœur de l’Histoire jusqu’aux plus hauts sommets du pouvoir.
Produisant une musique électronique aussi fureteuse qu’accrocheuse, le duo néerlandais Weval fait halte au CENTQUATRE-PARIS pour célébrer la sortie de son nouvel album.
Une exposition qui présente l’approche graphique de Pascal Blua, subtile, sobre, et toujours au service de la musique, et une table ronde qui nous plonge au cœur du processus créatif derrière la conception d’une pochette de disque, avec la présence de deux invités !
C’est l’histoire d’Emy, une petite chouette espiègle et douce comme un doudou, d’Irina, la sœur d’Emy, une fonceuse qui se sent pousser des ailes, et d’une maman chouette, aimante et coquette…